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Vente directe : statut d’indépendant complémentaire comme tremplin au marché du travail
DEFI
Il est de plus en plus difficile de trouver des indépendants à titre complémentaire
Dans le secteur de la vente directe, de nombreuses entreprises sont actives en Belgique dans la vente de produits par l’intermédiaire de vendeurs, en général via une activité complémentaire, de porte à porte et de consommateur à consommateur. Au total, cela représente quelque 22.000 vendeurs en Belgique. Avec l’émergence des flexi-jobs, également en complément d’un autre emploi principal dans l’horeca, le commerce et depuis 2023 aussi dans le secteur événementiel, les soins… il est de plus en plus difficile d’attirer des vendeurs pour la vente directe. Les charges administratives pour une activité complémentaire sont beaucoup plus élevées que pour un flexi-job, où l’employeur ou une agence d’intérim se charge de toute l’administration.

PROPOSITION
Statut d’indépendant à titre complémentaire en tant qu’accès au marché de l’emploi
Tout d’abord, les indépendants à titre complémentaire doivent pouvoir remplir autant que possible les obligations administratives pour leur activité complémentaire (affiliation à la BCE, caisse d’indépendants…) de manière digitale. En outre, depuis 2022, il est possible, pour l’exercice d’un métier en pénurie, de combiner une allocation de chômage partielle avec un revenu du travail. Il est également possible de poursuivre une activité complémentaire si l’on se retrouve au chômage dans l’emploi principal. Nous plaidons pour que les chômeurs aient la possibilité de démarrer une activité complémentaire indépendante et de la combiner avec une allocation de chômage, pendant maximum 2 ans. De cette manière, l’activité complémentaire peut représenter un coup de pouce pour débuter sur le marché de l’emploi.
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Kathy Bergen
Head Sectors Non Food